26 Septembre 2014
Curieusement dans la lutte contre les djihadistes de l’EI (état islamique), la Russie est systématiquement passée sous silence. D’où une petite mise au point par Fédorovski. Var matin du 23 septembre 2014.
« Si on continue de jouer la rupture avec la Russie, on risque pire que Poutine. »
« Au départ pro-occidentaux, les Russes se détournent et Poutine ne fait que personnifier ce rejet : 91% de l’opinion publique lui est désormais favorable. »
« Et puis, il ne faut pas se tromper d’adversaire. On aura bien besoin de la Russie dans la vraie bataille à mener contre l’islam radical. »
OBSERVATIONS.
Lu et approuvé.
Transmis à FH pour méditer et suite positive à donner.